lundi 28 octobre 2013

BON ANNIVERSAIRE GENERAL


BON  ANNIVERSAIRE  GENERAL

Le 25 Octobre 2013, le Général (2S) Louis BEAUDONNET fêtait ses 90 ans au Cercle-Mixte de la Région de Gendarmerie d'Ile de France à Maisons Alfort.

Ce sont de très nombreux fidèles amis qui ont répondus à l'invitation pour se réunir à l'intérieur du Mess Gendarmerie.

Parmi les invités, le Général de Corps d'Armée CARMICHAEL, Commandant la Région de Gendarmerie d'Ile de France, honorait de sa présence cette sympathique et conviviale assemblée.

Monsieur Michel HERBILLON, Maire de Maisons Alfort et Député du Val de Marne nous faisait l'honneur d'être parmi les personnalités présentes à cette réception. Il remettait à cette occasion au Général un prestigieux cadeau et lui exprimait l'amitié et le respect qu'il avait pour ce è  "Vieux Soldat au passé si glorieux" qui rappelons le è est l'officier de Gendarmerie le plus décoré de France.

Il appartenait au Colonel (h) VICHERY de remercier les nombreux amis fidèles du Général nonagénaire qui avaient répondu à cet appel pour lui souhaiter un joyeux anniversaire et lui remettre quelques cadeaux souvenirs offerts par les associations des Croix de Guerre – Valeur Militaire et Anciens d'Indochine. C'était une manière de manifester envers ce Glorieux Soldat : attachement et amitié.

Le Général BEAUDONNET recevait également des mains de plusieurs associations et services : livres et divers cadeaux.

Emu et dans une forme un peu affaiblie par ses derniers passages au Val de Grace, le Général remerciait chaleureusement ses fidèles amis dans un discours emprunt de son humour habituel.

"Voilà des lectures qui me permettront de vivre encore quelques temps pour lire entièrement les nombreux volumes offerts par mes fidèles amis" disait le Général !

Le vin d'honneur était suivi d'un délicieux repas que les invités conserveront longtemps en mémoire, servi par un personnel remarquable du cercle-mixte de la Région de Gendarmerie de Maisons Alfort (qu'il convient de féliciter chaleureusement.)

Après que le Général ait lu et commenté le menu, les papilles gustatives des convives se mettaient alors en marche.

Au chariot de fromages le Président le l'ADRG 94 : Elie GAMBIER prenait la parole pour rappeler, avec humour, quelques souvenirs vécus outre mer en compagnie alors, du Capitaine Louis BEAUDONNET.

Enfin, au terme du déjeuner, l'ensemble des invités levait leur coupe de champagne pour entonner les chants du è "JOYEUX ANNIVERAIRE GENERAL" et celui è "DES AFRICAINS".

C'est vers 15h00 que le repas prenait fin, permettant aux invités de regagner leur résidence respective en se donnant rendez vous dans 10 ans pour à nouveau fêter dans la joie et l'allégresse les  è  100 ans du Général.
 

 

lundi 14 octobre 2013

Le nouveau laboratoire scientifique de la gendarmerie en fonction

       
       
Le nouveau laboratoire scientifique de la gendarmerie
Le nouveau laboratoire scientifique de la gendarmerie
1 / 16

Précisément dénommés plateau technique de la cellule d’identification criminelle, les locaux qui seront inaugurés lundi 14 octobre sont en quelque sorte un laboratoire moderne doté de matériels performants pour optimiser le travail des techniciens en identification criminelle. Grâce à ce nouveau plateau, ce sont les résultats d’enquête qui seront améliorés. Découvrez notre reportage photo ci-après grâce au colonel Philippe Watremez et à l'adjudant-chef Jean-Marc Delbecq. Et notre dossier complet dans le JSL de dimanche.

Un nouveau laboratoire pour les experts de la gendarmerie

                     
Au sein de ce nouveau plateau technique, un local est également dédié à la conservation  des scellés, y compris dans des congélateurs.  Photo Gilles Dufour
Au sein de ce nouveau plateau technique, un local est également dédié à la conservation des scellés, y compris dans des congélateurs. Photo Gilles Dufour

Dénommé plateau technique, le nouveau laboratoire de la gendarmerie est déjà fonctionnel. En cours de certification, il est un moyen d’optimiser les résultats d’enquête.      

Si les séries télévisées sont parfois un peu caricaturales et idylliques pour les véritables professionnels des enquêtes judiciaires, les avancées technologiques et scientifiques n’en demeurent pas réelles voire même énormes. À Charnay-lès-Mâcon, la gendarmerie nationale dispose désormais d’un laboratoire moderne, un « plateau technique » qui révolutionne le déroulement des investigations et apporte des soutiens essentiels dans la recherche de preuves.

Un investissement de 80 000 €

Pour être plus efficace et mettre tous les atouts de leur côté afin de confondre les auteurs d’infractions, ce sont quelque 80 000 € qui ont été investis : aménagement de locaux très sécurisés (avec un soutien de l’Opac), matériels, formation…
L’ensemble du plateau technique est d’ailleurs en cours de certification par le comité français d’accréditation (COFAC) et ce, pour répondre à la décision-cadre de l’Union européenne. En attendant, la maison mère, l’institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) a donné son feu vert pour une mise en service dès le 2 septembre dernier.
Ces technologies maintenant disponibles en Saône-et-Loire, offrent aux enquêteurs de nouvelles possibilités. « Depuis septembre, nous avons transmis trois fois plus de traces papillaires (empreintes de doigt) que par le passé », explique l’adjudant-chef Jean-Marc Delbecq qui est aussi le « Cocim », le coordinateur des opérations criminelles pour le département. S’il précise qu’il ne s’agit pas d’un laboratoire d’analyse, l’expert souligne : « Nous effectuons les prélèvements sur les scènes de crimes ou de délits et nous avons aujourd’hui les outils les plus performants pour aller chercher l’ADN. Grâce à cela, nous obtenons également de plus en plus de traces papillaires, par exemple. Là où nous pouvions en avoir deux avec un support, nous en avons désormais dix. Pour l’ADN, nous devions auparavant envoyer un morceau de drap ou de vêtement pour recherche des traces ADN. À présent, nous sommes en mesure de faire les recherches nous-mêmes et de transmettre les résultats au laboratoire d’analyse directement, nous sautons des étapes et gagnons du temps ».

Matériels de pointe

Loupe binoculaire avec rapprochement d’images par informatique entre traces, crimescope avec laser lumineux pour mettre en évidence des traces digitales, poils, fibres et autres résidus biologiques (longueurs d’onde allant de l’infrarouge à l’ultraviolet), vacuum box servant à relever les traces de foulage ou dépôt invisibles à l’œil nu, armoire à fumigation… « Plusieurs matériels à très haute valeur ajoutée, sont mis en œuvre et les méthodes de travail sont optimisées », conclut le colonel Philippe Watremez, commandant du groupement de gendarmerie de Saône-et-Loire. Une avancée exceptionnelle en matière d’enquête et de recherche des auteurs.
 
 

jeudi 26 septembre 2013

Gendarmerie, la Police nationale et Pôle Emploi

NÎMES. “Emploi et reconversion” au coeur d’une convention signée entre la Gendarmerie, la Police nationale et Pôle Emploi

(De gauche à droite) Marc Leveque, Général, commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, Pascal Blain, directeur régional de Pôle Emploi, Henri Castets, délégué interrégional au Recrutement et à la Formation de la Police nationale pour la zone Sud et Vincent Terrenoir, commissaire divisionnaire, chef de la misssion reconversion et reclassement professionnel (M2RP) de la Police nationale. Photo DR/S.Ma
(De gauche à droite) Marc Leveque, Général, commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, Pascal Blain, directeur régional de Pôle Emploi, Henri Castets, délégué interrégional au Recrutement et à la Formation de la Police nationale pour la zone Sud et Vincent Terrenoir, commissaire divisionnaire, chef de la mission reconversion et reclassement professionnel (M2RP) de la Police nationale. Photo DR/S.Ma
Qu’on se le dise si ce n’est déjà fait, la Police nationale et la Gendarmerie recrutent. Dans une région où le taux de chômage atteint un score record et notamment chez les jeunes de 18 à 25 ans, 38%, ce message devrait être entendu.
Chaque année, les deux institutions ont besoin de personnels volontaires — gendarmes adjoints volontaires (GAV) côté militaire et adjoints de sécurité (ADS) côté police — pour renforcer leurs effectifs. Ces deux contrats, six ans pour la police, et cinq ans pour la gendarmerie permettent aux jeunes de suivre une formation tout en découvrant le métier en le touchant de très près. Dans le cadre de ces recrutements, Pôle Emploi joue un rôle important en orientant certains demandeurs d’emploi, en tout cas ceux qui ont le profil, vers la Police nationale ou la Gendarmerie. Afin de renforcer leur coopération au niveau régional comme au national, ce mardi 24 septembre, Marc Levêque, Général, commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon, Pascal Blain, directeur régional de Pôle Emploi, Henri Castets, délégué interrégional au Recrutement et à la Formation de la Police nationale pour la zone Sud et Vincent Terrenoir, commissaire divisionnaire, chef de la mission reconversion et reclassement professionnel ont signé une convention portant sur l’emploi et la reconversion.
Chacun joue gagnant, gagnant, s’est félicité Henri Castets. Cette convention permet l’assurance d’une promotion de nos métiers ainsi que la reconversion de nos hommes en fin de contrat pour ceux qui ne souhaiteraient ou ne pourraient pas rester avec nous.” Au Général Levêque de reprendre : “Chaque année, notre flux sortant est en moyenne de 120 gendarmes adjoints parmi lesquels 60 ont besoin d’être accompagnés pour leur reconversion professionnelle.” C’est là que Pôle Emploi interviendra et permettra soit dit en passant au ministère de l’Intérieur de faire des économies puisqu’il n’aura pas à payer les indemnités chômage des gendarmes ou policiers sortants.
Le parcours de Joris Virey, 24 ans.
Joris Virey intègrera dès le mois de décembre une école de sous-officiers. Photo DR/S.Ma
Joris Virey intègrera dès le mois de décembre une école de sous-officiers. Photo DR/S.Ma
Joris Virey, 24 ans, aujourd’hui gendarme adjoint volontaire (emploi particulier) était au chômage en 2010 après avoir terminé son contrat en alternance d’agent d’exploitation dans une entreprise de transports routiers à Sarrians (Vaucluse). Lors d’un rendez-vous au Pôle Emploi, il a été orienté vers la gendarmerie en tant que gendarme adjoint volontaire. Il a ainsi pu suivre une formation sur le métier et préparer son concours pour entrer dans une école de sous-officiers. Concours qu’il a réussi, “dès le mois de décembre, j’entrerai dans une école de sous-officiers, j’attends de savoir laquelle.” En attendant, Joris Virey occupe un poste de magasinier à l’État-major régional implanté à Montpellier, “je m’occupe de l’approvisionnement de matériel dans les différentes gendarmerie.
 
 
 

GENDARMERIE DE L’AIR

 
 
 
7053243815_7f28c1d1f1_o
 
Une cérémonie se déroulera sur la BA 107. 
A l’occasion du 70è anniversaire de la Gendarmerie de l’Air, une cérémonie commémorative se déroulera mercredi 25 septembre. Elle sera présidée par les majors généraux de l’armée de l’air et de la gendarmerie, le général Creux et le général Lizurey.
Corps à part entière de la gendarmerie nationale, la gendarmerie de l’air est placée pour emploi sous le commandement de l’armée de l’air. Elle regroupe 790 gendarmes répartis sur les bases aériennes métropolitaines et en outre-mer. Sa mission se résume à effectuer de la sécurité/protection des sites militaires abritant les aéronefs de l’armée de l’air. Ce sont les gendarmes de l’air qui contrôlent les accès aux bases et exercent les missions de police militaire, administrative et judiciaire.
 Crédits photos © Stéphane Bommert  -  Un article de 
 

samedi 7 septembre 2013

Rochefort : Alain Giorgis, nouveau commandant des écoles de la gendarmerie nationale


Alain Giorgis,commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Âgé de 57 ans, le général aux quatre étoiles a connu un parcours dense et diversifié.Le général de corps d’armée Alain Giorgis a notamment dirigé le groupement le plus important de France


Âgé de 57 ans, le général aux quatre étoiles a connu un parcours dense et diversifié. (Photo D. B.)

Il fait partie des dix gendarmes les plus gradés de France (1). Nouveau commandant des écoles de la gendarmerie nationale, le général de corps d’armée (quatre étoiles) Alain Giorgis a pris ses fonctions le 1er septembre et succède à Christophe Métais à l’Hôtel de commandement (ex-hôtel de la Marine).
Né à Nice en 1956, il officie dans la gendarmerie depuis trente-cinq ans et sa sortie de l’école militaire de Saint-Cyr. « Dix ans à l’état-major et vingt-cinq ans à des fonctions de commandement », résume-t-il. Après des débuts dans la gendarmerie mobile à Marmande (Lot-et-Garonne), il commande un escadron de sécurité à Berlin en 1982. Il officie notamment au célèbre checkpoint Charlie, un poste frontière franchissant dans lequel il se souvient « des échanges d’espion ».
 
 
 

jeudi 29 août 2013

Cergy : Manuel Valls attendu

    
Le ministre socialiste de l’Intérieur, Manuel Valls, devrait la semaine prochaine effectuer un détour par Cergy. Objectif de cette visite : s’assurer que le redéploiement police-gendarmerie, qui doit être effectif dans la nuit de dimanche à lundi prochain, se déroule bien. Jusqu’ici placée sous la responsabilité des gendarmes et des policiers, l’agglomération cergypontaine sera bientôt le domaine réservé de la police qui implantera un commissariat de six hommes à Courdimanche et un autre de 70 hommes à Jouy-le-Moutier.


lundi 26 août 2013

  



gendarmerie nationale_56941
(Photo Thibaut Parat) 
Une nuit blanche pas tout à fait comme les autres... Sept heures en immersion avec cinq gendarmes du PSIG (Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie).
Des hommes en treillis bleu ignifugé, à la carrure aussi impressionnante que leur armement... Thibaut Parat les a suivi pour vous dans leur mission principale: servir leur corps d'armée pour lequel ils se sont engagés.
C'est aux côtés du commandant de la compagnie de Menton, Thierry Chamard, en observation cette nuit-là, qu'il a pris place pour plonger au cœur du quotidien exceptionnel de ce Groupe de surveillance et d'intervention nocturne (GSIN), mis en place cet été par le chef d'escadron.

mardi 2 juillet 2013

Première femme générale de gendarmerie, Isabelle Guion de Méritens

  Cliquez   ICI    et   ICI  pour voir 1 vidéo
 
Des élèves de l'Ecole des officiers de gendarmerie aux Invalides à Paris le 18 février 2013
Des élèves de l'Ecole des officiers de gendarmerie aux Invalides à Paris le 18 février 2013 (Photo Francois Guillot. AFP).
Première femme générale de gendarmerie, Isabelle Guion de Méritens, a accroché lundi deux étoiles sur ses manches à la veille de la sortie de l’école des officiers de Melun de 39 jeunes femmes, qui peinent à briser «le plafond de verre» d’une institution vieille de sept siècles.
Commandant les 1.100 hommes et femmes de la gendarmerie maritime depuis septembre 2012, l’officière avait été nommée générale de brigade fin mars en Conseil des ministres. Elle était devenue «la première femme générale de gendarmerie de l’histoire de France», avait souligné la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem.
La gendarmerie compte 63 officiers généraux et 97.000 hommes et femmes.
Isabelle Guion de Méritens, 50 ans, avait également été la première saint-cyrienne à choisir la gendarmerie, très appréciée des «cyrards». Elle avait été également la première femme à commander de 2007 à 2010 un groupement de gendarmerie (Yvelines).
Mardi en présence du ministre de l’Intérieur Manuel Valls à Melun, elles seront 39 femmes parmi les 142 officiers sortant de l’Ecole des officiers de gendarmerie. Certaines seront peut-être générales dans plus d’une vingtaine d’années après avoir, comme leurs camarades masculins, servi dans la gendarmerie mobile et départementale, occupé des postes à la direction de la gendarmerie et passé des diplômes spécialisés.
Symbole de masculinité
Les femmes sont encore minoritaires dans la gendarmerie (17,5% des effectifs), même si elles sont présentes dans tous les métiers : enquêtrices de police judiciaire, pilotes d’hélicoptère, cavalières de la Garde républicaine, motocyclistes ou membres du prestigieux Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), les femmes ont peu a peu occupé depuis 1972 l’ensemble des postes en gendarmerie.
Recrutées d’abord comme volontaires pour des postes administratifs, les femmes sont entrées en gendarmerie comme sous-officiers et officiers en 1983 mais limitées à un quota de 5%. En 1998, la suppression des quotas dans les trois armées et la gendarmerie (alors sous tutelle du ministère de la Défense), a permis une arrivée massive de femmes chez les gendarmes adjoints volontaires (GAV).
En 2013, selon la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), les femmes représentent (17,5%) des effectifs (18% dans la police), un pourcentage qui augmente chaque année. Elles sont 11% chez les sous-officiers et 5,4% chez les officiers.
«Comme dans les entreprises et le monde politique, les femmes n’accèdent pas facilement aux plus hauts postes», expliquait récemment à l’AFP François Dieu, spécialiste de la gendarmerie. «Même si les choses ont bien évolué, le +plafond de verre+, existe bel et bien», ajoutait cet universitaire auteur de plusieurs ouvrages sur la gendarmerie.
«La gendarmerie, vieux symbole de masculinité et d’autorité, a été assez réticente a l’arrivée des femmes au début des années 80 mais les choses ont peu à peu évolué», ajoute François Dieu.
Mais les femmes, comme dans les autres secteurs professionnels connaissent aussi en gendarmerie des «difficultés» liées au travail des femmes (congés maternité, maladies des enfants ...) qui, dans certains cas, peuvent les amener à connaître moins d’avancement que leurs collègues hommes ou même à quitter la gendarmerie, notait François Dieu.
Elles connaissent également, ajoutait-il, les contraintes de la gendarmerie tout comme les hommes : travail de nuit et de week-end et mobilité obligatoire, notamment pour les officiers qui sont mutés au bout de quatre ans.

mercredi 26 juin 2013

Gendarmerie Nationale



Hitachi Data Systems modernise l’infrastructure de stockage de la Gendarmerie Nationale
Hitachi Data Systems Corporation a mené un projet de modernisation de l’infrastructure de stockage de la Gendarmerie Nationale. Hitachi Data Systems a ainsi installé deux systèmes de stockage Hitachi Virtual Storage Platform incluant la virtualisation et permettant de rendre le système de stockage de la Gendarmerie Nationale plus performant, sécurisé et évolutif.
La Gendarmerie Nationale gère un grand nombre de données, comptant parmi les plus sensibles de l’Etat français. Plus de 120 services applicatifs et 150 To de données sont hébergés sur l’infrastructure de la Gendarmerie Nationale qui est installée sur deux sites distincts, dont le principal se trouve à Rosny-Sous-Bois. Les données générées doivent être stockées de manière sécurisée tout en demeurant accessibles en temps réel pour tous les gendarmes, jusque sur le terrain.
Certaines applications, telle que le Traitement des Antécédents Judiciaires (TAJ), étant utilisées conjointement par la Gendarmerie Nationale et la Police Nationales, les données générées et stockées doivent être accessibles à la fois pour les gendarmes et les policiers, soit environ 250 000 personnes. A titre d’exemple, environ 62 millions procédures et leurs gestions sont administrées via le système TAJ, pour un total de 10 millions de personnes concernées.
Afin de moderniser son infrastructure de stockage vieillissante, qui n’offrait plus un niveau de performances ni une évolutivité optimale, la Gendarmerie a sélectionné Hitachi Data Systems suite à un appel d’offre réalisé en 2011.
Le général de Division Bernard Pappalardo précise : « La qualité des solutions proposées, l’accompagnement humain sans oublier le coût, ont fait la différence pour la Gendarmerie Nationale, face aux autres offres présentées par la concurrence ».
La virtualisation et les systèmes Hitachi Virtual Storage Platform optimisent le stockage et l’accès aux informations de la Gendarmerie Nationale
Hitachi Data Systems a installé et déployé deux systèmes de stockage Hitachi Virtual Storage Platform en complément de baies existantes pour virtualiser l’ensemble du système, ouvrant la voie à plus de performances et d’évolutivité, et permettant ainsi une utilisation optimale du parc existant pour plus de sécurité notamment.
La solution mise en place offre de nombreux avantages :
· Au niveau de la sécurité, les VSP HDS permettent une réplication immédiate des données d’une baie vers une autre en cas de sinistre affectant l’un des sites hébergeant l’une des baies VSP. Le système continue ainsi de fonctionner normalement et l’accès aux informations n’est pas perturbé pour les utilisateurs, évitant ainsi de graves répercussions.
· L’allocation et la mobilité dynamique des données : Les systèmes VSP permettent aux équipes techniques de la Gendarmerie Nationale d’allouer les volumétries de stockage nécessaires sur les systèmes en temps réel en fonction des besoins, et ainsi d’utiliser les capacités de manière optimale et d’obtenir des performances de haut niveau.
· La centralisation et simplification du système : HDS a transmis aux équipes techniques de la Gendarmerie Nationale les compétences nécessaires pour gérer leur infrastructure en interne et de manière autonome. La virtualisation permet de centraliser l’administration de l’infrastructure.
· La réduction des coûts grâce à la simplification de l’administration, à l’utilisation dynamique de l’ensemble des capacités réduisant les besoins en termes de baies et de place notamment, mais également à la réduction des coûts de maintenance.
La Gendarmerie Nationale a déjà pu constater une diminution par deux (2) des temps d’accès, et elle ne rencontre plus aucun problème de saturation au niveau des temps d’entrées/sorties.
Le général de Division Bernard Pappalardo confirme : « Hitachi Data Systems a été sélectionné pour la qualité de sa réponse à l’appel d’offre initié par la Gendarmerie Nationale et cela en respectant parfaitement le code des marchés publics. Travaillant déjà avec Hitachi Data Systems, nous connaissions la qualité de leurs produits et solutions, et l’appel d’offre nous a conforté dans ce choix. Les perspectives d’évolutivité, la qualité de l’accès à l’information, l’accompagnement humain et le coût bien évidemment, ont fait parties des facteurs clés du succès d’HDS. Quelques mois après la finalisation du projet, nous pouvons en apprécier les bénéfices et en sommes pleinement satisfaits. »