Il est mort après avoir été percuté par un motard lors d'un contrôle. Brice Hortefeux lui a rendu les hommages hier.
Jacques Montouillot a reçu jeudi matin à titre posthume les honneurs militaires et les hommages de la République à la caserne de Périgueux où le ministre de l'Intérieur a tenu à être présent. Les obsèques religieuses ont été célébrées l'après-midi en la Cathédrale St Front.
Brice Hortefeux a salué l'homme "tout entier dévoué à sa mission" et rendu hommage à sa carrière et à sa personne. Il lui a décerné à titre posthume la légion d'honneur et la médaille militaire.
"C'est en voulant sauver des vies que Jacques Montouillot a ironiquement donné la sienne au service des français et au service de la loi" a t-il déclaré.
Ce gendarme de la brigade motorisée de Bergerac, est décédé dimanche soir, à 49 ans, des suites de ses blessures. Le motard qui l'a percuté, refusant de s'arrêter à un contrôle routier, a été mis en examen mardi et placé en détention.
Il est poursuivi pour homicide involontaire aggravé par imprudence et délit de fuite, défaut de maîtrise, franchissement de ligne continue et plaque non conforme.
Le gendarme, qui souffrait de fractures aux jambes, est décédé dans la soirée de dimanche à l'hôpital de Bergerac.
Il effectuait quelques heures auparavant un contrôle routier avec un collègue sur la route départementale 933 à hauteur de Saint-Julien-d'Eymet.
Vers 17h, il a fait le geste demandant à un motard de s'arrêter mais ce dernier, refusant d'obtempérer, l'a percuté avant de prendre la fuite, selon le Centre opérationnel de gendarmerie (COG).
Le conducteur de la moto, âgé de 50 ans, s'est rendu de lui-même à la gendarmerie de Bergerac une heure plus tard après avoir dans un premier temps pris contact avec les gendarmes par téléphone, selon la même source. Il risque 10 ans de prison.
Jacques Montouillot a reçu jeudi matin à titre posthume les honneurs militaires et les hommages de la République à la caserne de Périgueux où le ministre de l'Intérieur a tenu à être présent. Les obsèques religieuses ont été célébrées l'après-midi en la Cathédrale St Front.
Brice Hortefeux a salué l'homme "tout entier dévoué à sa mission" et rendu hommage à sa carrière et à sa personne. Il lui a décerné à titre posthume la légion d'honneur et la médaille militaire.
"C'est en voulant sauver des vies que Jacques Montouillot a ironiquement donné la sienne au service des français et au service de la loi" a t-il déclaré.
Ce gendarme de la brigade motorisée de Bergerac, est décédé dimanche soir, à 49 ans, des suites de ses blessures. Le motard qui l'a percuté, refusant de s'arrêter à un contrôle routier, a été mis en examen mardi et placé en détention.
Il est poursuivi pour homicide involontaire aggravé par imprudence et délit de fuite, défaut de maîtrise, franchissement de ligne continue et plaque non conforme.
Le gendarme, qui souffrait de fractures aux jambes, est décédé dans la soirée de dimanche à l'hôpital de Bergerac.
Il effectuait quelques heures auparavant un contrôle routier avec un collègue sur la route départementale 933 à hauteur de Saint-Julien-d'Eymet.
Vers 17h, il a fait le geste demandant à un motard de s'arrêter mais ce dernier, refusant d'obtempérer, l'a percuté avant de prendre la fuite, selon le Centre opérationnel de gendarmerie (COG).
Le conducteur de la moto, âgé de 50 ans, s'est rendu de lui-même à la gendarmerie de Bergerac une heure plus tard après avoir dans un premier temps pris contact avec les gendarmes par téléphone, selon la même source. Il risque 10 ans de prison.
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